Regarde

Brad marché d'un pas lent dans le couloir des cellulles . Il jeta un coup d'oeil a chque cellulle qui passé devant , pour voir si tout se passer bien là dedant . C'ete son premier jours a cette prison mais avant d'etre ici , ila deja ete gardien de prison . Il compte bien se faire respecter des maintent sinon il ne se fera pas respecter pas les prsisonnier et il sera dans de pas tres bonne situation .

Dans sa cellule, Jim révassait. Il pensait à Cassie et à son groupe. À la déception qu'il leur avait causé, à l'amour qu'ils lui portaient et à l'amour qu'il leur portait. Il s'en voulait affreusement de les avoir déçu, mais, en même temps, il ne devait pas se laisser ronger par les remords.
Il avait juré à ses fans que tant qu'il serait en vie, il continuerait d'écrire de nouvelles chansons, et il avait bien l'intention d'honorer sa promesse. Il se leva de sa couchette et se mit à réfléchir à une mélodie. Une fois qu'il l'eut trouvée, il se mit en quête des paroles. Il trouva des paroles très sombres et les mit par écrit. Puis, maintenant qu'il avait la mélodie et les paroles, il lui fallait des notes. Il prit une autre feuille de papier et se mit à dessiner les mesures, puis à placer les notes dessus.
Une fois que sa chanson fut prête, il en écrivit le titre: "Waiting in the Hell". Il se mit à chantonner sa nouvelle création à voix haute. Certains détenus lui firent comprendre qu'il ferait mieux de la fermer, s'il ne voulait pas avoir d'ennui, alors il se tut. Les cellules étant ouvertes, le jeune homme sortit pour faire quelques pas. Il eut la mauvaise surprise de voir ses bourreaux se diriger vers lui. Il jeta un coup d'oeil aux alentours pour voir s'il n'avait pas de possibilité de fuite, ce qui n'était pas le cas.
*Et m***e !*
Les deux gros bras l'imobilisèrent contre le mur et le cerveau s'approcha de lui, un sourire faussement bienveillant aux lèvres. L'armoire à glace semblait n'attendre qu'un mot pour commencer à frapper le jeune pirate.
Salut, mon mignon. Alors, t'as décidé de te laisser faire, cette fois ? Ou bien, il faut qu'on te convainque à notre manière ?
Jim commença à se débattre, sans autre effet que de se fatiguer et de se faire mal inutilement. Son persécuteur s'approcha encore un peu et se mit à lui carresser avec tendresse les cheveux, le visage, les hanches et l'entre-jambe. Puis il l'embrassa sur la bouche, mais cette fois, il mit la langue. Le jeune homme se débattit du mieux qu'il put, mais cela n'arrangeait pas les choses. Les deux mec qui le maintenaient immobile, le placaient contre le mur avec fermeté et chaque fois qu'ils faisait le moindre mouvement, ça le faisait souffrir. Quand le cerveau daigna s'écarter un peu, il dit à Jim:
Tu ne te rends pas la vie plus facile en jouant les vierges effarouchées, petit. Aurais-tu oublier que j'obtiens toujours ce que je veux, surtout de la part de mes victimes. Tu devrais t'estimer heureux que je t'en demande pas plus, pour l'instant. Tout ce que je te veux, c'est un semblant de bonheur dans cet enfer du nom de Fox River.
Puis, il l'embrassa à nouveau. Jim était épuisé et les gros bras n'y allaient pas de main morte pour le maintenir immobile. Il supporta le supplice sans broncher, faisant preuve d'un stoïcisme qui l'étonna lui-même. Son bourreaux resta collé à lui encore un moment, puis s'écarta et caressa tendrement la joue du jeune homme. Ce dernier se laissa faire.
Eh ben voilà ! C'est pas plus agréable comme ça, petit ? Tu te fatigues pour rien, mon mignon.
Laisse-moi tranquille, tu as eu ce que tu voulais, non ?
Tu crois ? Si j'avais eu ce que je voulais, on serait les deux, allongés sur une couchette, l'un à côté de l'autre. Mais, étant donné les effort d'obéissance que tu as fait, on va dire que j'ai eu ce que je voulais. On va te laisser tranquille, mais t'avise pas de te plaindre à un gardien. Ce serait dommage qu'il t'arrive malheur, n'est-ce pas ?
Puis il fit signe à ses sbires et son armoire à glace de laisser le jeune homme tranquille et tous quatre se barrèrent. Raven se massa les bras en jetant un regard meurtrier à ses persécuteurs. Il regarda un moment le flux des détenus qui discutaient, marchandaient, échangeaient de la marchandise.

[ Jim jesuis pas sure que ton post soirt a sa place, il y serait peut etre plus dans "cellules" puisque si je comprend bien ton texte, tu est dans ta cellule lorsque tu écris? non ? ]

c'est vrai!

[J'ai édité, maintenant je ne suis pas seulement dans ma cellule !]